Titre : |
Une nuit arabe ; Push up |
Titre original : |
Arabische Nacht ; Push up |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Roland Schimmelpfennig (1967-....), Auteur ; Johannes Honigmann, Traducteur |
Editeur : |
Paris : L'Arche |
Année de publication : |
2002 |
Collection : |
Scène ouverte |
Importance : |
(147 p.) 1 vol |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85181-523-1 |
Prix : |
15 EUR |
Note générale : |
Traduction de : "Die arabische Nacht" par Johannes Honigmann, avec la collaboration de Laurent Muhleisen, et de : "Push up" par Henri-Alexis Baatsch
"Une nuit arabe" : Traduit de l’allemand par Johannes Honigmann avec la collaboration de Laurent Muhleisen
"Push Up" : Traduit de l’allemand par Henri-Alexis Baatsch
Pour "Une nuit Arabe" :
Nombre de rôles féminins : 2
Nombre de rôles masculins : 3
Nombre de décors : 0
Pour "Push Up" :
Nombre de scènes : 20
Nombre d'actes : 4
Nombre de rôles féminins : 4
Nombre de rôles masculins : 4
Nombre de décors : 0
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Langues : |
Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) |
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Comme le théâtre anglais et français depuis quelques années, les pièces de Schimmelpfennig reprennent et reflètent le changement de notre mode de perception, de notre vie. Il va de soi que la télévision et la publicité y contribuent de tout leur poids. Cette prise en compte, ce renouvellement sont indispensables pour capter l’attention d’un public qui, en prenant place au théâtre, ne peut faire abstraction de son vécu quotidien.
La légèreté avec laquelle Schimmelpfennig transforme la scène en un espace où rêve et réalité se croisent continuellement est époustouflante. Il y parvient grâce à des techniques littéraires empruntées au nouveau roman et, bien sûr, au cinéma, permettant des changements d’angle sans la moindre difficulté. Cette mobilité (verbale) enlève à la scène sa lourdeur ancienne – comment bouger le décor ? – et lui confère un caractère plus spirituel ; exactement à l’opposé du réalisme habituel de la télévision. l’efficacité de cette écriture est d’autant plus étonnante que ses thèmes appartiennent à la sphère du quotidien. Dans "Une nuit arabe", c’est une coupure d’eau dans un immeuble HLM qui déclenche « l’histoire » et dans "Push Up", ce sont les conflits humains dans une entreprise qui déterminent la « marche des choses ».
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Note de contenu : |
Table des matières |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1311 |
Une nuit arabe ; Push up = Arabische Nacht ; Push up [texte imprimé] / Roland Schimmelpfennig (1967-....), Auteur ; Johannes Honigmann, Traducteur . - Paris : L'Arche, 2002 . - (147 p.) 1 vol ; 18 cm. - ( Scène ouverte) . ISBN : 978-2-85181-523-1 : 15 EUR Traduction de : "Die arabische Nacht" par Johannes Honigmann, avec la collaboration de Laurent Muhleisen, et de : "Push up" par Henri-Alexis Baatsch
"Une nuit arabe" : Traduit de l’allemand par Johannes Honigmann avec la collaboration de Laurent Muhleisen
"Push Up" : Traduit de l’allemand par Henri-Alexis Baatsch
Pour "Une nuit Arabe" :
Nombre de rôles féminins : 2
Nombre de rôles masculins : 3
Nombre de décors : 0
Pour "Push Up" :
Nombre de scènes : 20
Nombre d'actes : 4
Nombre de rôles féminins : 4
Nombre de rôles masculins : 4
Nombre de décors : 0
Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger)
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Comme le théâtre anglais et français depuis quelques années, les pièces de Schimmelpfennig reprennent et reflètent le changement de notre mode de perception, de notre vie. Il va de soi que la télévision et la publicité y contribuent de tout leur poids. Cette prise en compte, ce renouvellement sont indispensables pour capter l’attention d’un public qui, en prenant place au théâtre, ne peut faire abstraction de son vécu quotidien.
La légèreté avec laquelle Schimmelpfennig transforme la scène en un espace où rêve et réalité se croisent continuellement est époustouflante. Il y parvient grâce à des techniques littéraires empruntées au nouveau roman et, bien sûr, au cinéma, permettant des changements d’angle sans la moindre difficulté. Cette mobilité (verbale) enlève à la scène sa lourdeur ancienne – comment bouger le décor ? – et lui confère un caractère plus spirituel ; exactement à l’opposé du réalisme habituel de la télévision. l’efficacité de cette écriture est d’autant plus étonnante que ses thèmes appartiennent à la sphère du quotidien. Dans "Une nuit arabe", c’est une coupure d’eau dans un immeuble HLM qui déclenche « l’histoire » et dans "Push Up", ce sont les conflits humains dans une entreprise qui déterminent la « marche des choses ».
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Note de contenu : |
Table des matières |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1311 |
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