Titre : |
Je suis sang ; Étant donnés : Ik ben bloed; |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jan Fabre (1958-....), Auteur ; Olivier Taymans, Traducteur ; Luc de Coninck, Traducteur |
Editeur : |
Paris : L'Arche |
Année de publication : |
2001 |
Collection : |
Scène ouverte |
Importance : |
62 p. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85181-490-6 |
Prix : |
9,30 EUR |
Note générale : |
Traduction de : "Ik ben bloed" et de "Étant donnés" par Olivier Taymans. Certains passages de "Ik ben bloed" ont été traduits du néerlandais en latin par Luc De Coninck.
"Je suis sang" :
Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"Etant donnés" :
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
"Je suis sang" : Traduit du néerlandais par Olivier Taymans, traduit du néerlandais en latin par Luc de Coninck
"Étant donnés" : Traduit du néerlandais par Olivier Taymans, traduit du néerlandais en latin par Luc de Coninck
|
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Néerlandais (dut) |
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Pour le festival d’Avignon 2001, Fabre a écrit une pièce sur une composante essentielle du corps humain : le sang. Métaphore de l’agressivité, il est en même temps l’élément vital. La question est grave : depuis le Moyen Âge, l’être humain a-t-il fait des progrès ? Où sont les avancées morales réclamées et clamées haut et fort depuis plusieurs siècles ? Le texte est une plainte, une revendication de la sagesse sans dogmatisme ou prosélytisme.
"Étant donnés", la deuxième pièce figurant dans ce volume, est un « dialogue » avec la dernière œuvre de Marcel Duchamp (mort en 1968) portant le titre : "Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage". Duchamp y avait travaillé pendant plus de vingt ans. Elle montre une porte en bois décrépite encastrée dans une façade de briques. Deux petits trous permettent de voir à l’intérieur une femme nue, couchée sur un lit de feuilles et de brindilles avec, à l’arrière-plan, un paysage de montagne : le résultat de la réflexion de Marcel Duchamp sur l’art spectacle. Fabre commente et radicalise la pensée de Duchamp en séparant la femme de son vagin, en donnant au vagin un rôle propre. Les deux se parlent, livrant, d’une part, une « interprétation mécanique du phénomène amoureux » (Breton), et, d’autre part, une belle métaphore d’une société-spectacle.
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Note de contenu : |
Biographie et bibliographie de l'auteur |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=846 |
Je suis sang ; Étant donnés : Ik ben bloed; [texte imprimé] / Jan Fabre (1958-....), Auteur ; Olivier Taymans, Traducteur ; Luc de Coninck, Traducteur . - Paris : L'Arche, 2001 . - 62 p. ; 19 cm. - ( Scène ouverte) . ISBN : 978-2-85181-490-6 : 9,30 EUR Traduction de : "Ik ben bloed" et de "Étant donnés" par Olivier Taymans. Certains passages de "Ik ben bloed" ont été traduits du néerlandais en latin par Luc De Coninck.
"Je suis sang" :
Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"Etant donnés" :
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
"Je suis sang" : Traduit du néerlandais par Olivier Taymans, traduit du néerlandais en latin par Luc de Coninck
"Étant donnés" : Traduit du néerlandais par Olivier Taymans, traduit du néerlandais en latin par Luc de Coninck
Langues : Français ( fre) Langues originales : Néerlandais ( dut)
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Pour le festival d’Avignon 2001, Fabre a écrit une pièce sur une composante essentielle du corps humain : le sang. Métaphore de l’agressivité, il est en même temps l’élément vital. La question est grave : depuis le Moyen Âge, l’être humain a-t-il fait des progrès ? Où sont les avancées morales réclamées et clamées haut et fort depuis plusieurs siècles ? Le texte est une plainte, une revendication de la sagesse sans dogmatisme ou prosélytisme.
"Étant donnés", la deuxième pièce figurant dans ce volume, est un « dialogue » avec la dernière œuvre de Marcel Duchamp (mort en 1968) portant le titre : "Étant donnés : 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage". Duchamp y avait travaillé pendant plus de vingt ans. Elle montre une porte en bois décrépite encastrée dans une façade de briques. Deux petits trous permettent de voir à l’intérieur une femme nue, couchée sur un lit de feuilles et de brindilles avec, à l’arrière-plan, un paysage de montagne : le résultat de la réflexion de Marcel Duchamp sur l’art spectacle. Fabre commente et radicalise la pensée de Duchamp en séparant la femme de son vagin, en donnant au vagin un rôle propre. Les deux se parlent, livrant, d’une part, une « interprétation mécanique du phénomène amoureux » (Breton), et, d’autre part, une belle métaphore d’une société-spectacle.
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Note de contenu : |
Biographie et bibliographie de l'auteur |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=846 |
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