Titre : |
La mer |
Titre original : |
El mar |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Andrés Caicedo Estela (1951-1977), Auteur ; Denise Laroutis, Traducteur |
Editeur : |
Besançon : Les Solitaires Intempestifs |
Année de publication : |
1998 |
Collection : |
Bleu |
Importance : |
66 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-912464-31-6 |
Prix : |
7,60 EUR |
Note générale : |
Publication à l'occasion de la manifestation Du monde entier, Saint-Denis, Théâtre Gérard-Philipe, 22 juin-7 juillet 1998.
Texte original en espagnol traduit par Denise Laroutis |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Et je donnais des coups de pied dans les murs, je renversais les chaises, je me perdais dans les champs et ma mère organisait des expéditions, commandées par mon frère Jesús, pour qu'on me retrouve. Alors ils ont décidé, du jour au lendemain, que j'étais fou, et cette idée me faisait rire, tant elle était simple, simplificatrice. Si ç'avait été de la folie, le tourment n'aurait pas été aussi grand. J'aimerais vous expliquer ce que je ressentais: je fermais les yeux et c'était comme si je naviguais, agité, sur une mer absolument plate, calme... Pourquoi ne peut-on trouver le calme sur une telle mer ?
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Note de contenu : |
Note de Stanislas Nordey
Personnages : 3 |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=693 |
La mer = El mar [texte imprimé] / Andrés Caicedo Estela (1951-1977), Auteur ; Denise Laroutis, Traducteur . - Besançon : Les Solitaires Intempestifs, 1998 . - 66 p. : couv. ill. ; 20 cm. - ( Bleu) . ISBN : 978-2-912464-31-6 : 7,60 EUR Publication à l'occasion de la manifestation Du monde entier, Saint-Denis, Théâtre Gérard-Philipe, 22 juin-7 juillet 1998.
Texte original en espagnol traduit par Denise Laroutis Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Et je donnais des coups de pied dans les murs, je renversais les chaises, je me perdais dans les champs et ma mère organisait des expéditions, commandées par mon frère Jesús, pour qu'on me retrouve. Alors ils ont décidé, du jour au lendemain, que j'étais fou, et cette idée me faisait rire, tant elle était simple, simplificatrice. Si ç'avait été de la folie, le tourment n'aurait pas été aussi grand. J'aimerais vous expliquer ce que je ressentais: je fermais les yeux et c'était comme si je naviguais, agité, sur une mer absolument plate, calme... Pourquoi ne peut-on trouver le calme sur une telle mer ?
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Note de contenu : |
Note de Stanislas Nordey
Personnages : 3 |
Type de documents : |
écrits |
Permalink : |
http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=693 |
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