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Auteur Leslie Kaplan (1943-....) |
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Depuis maintenant. Miss Nobody Knows / Leslie Kaplan
Titre de série : Depuis maintenant Titre : Miss Nobody Knows Type de document : texte imprimé Auteurs : Leslie Kaplan (1943-....), Auteur Editeur : Paris : P.O.L Année de publication : 1996 Importance : 110 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86744-506-4 Prix : 70 F Note générale : Il existe "Depuis maintenant 2 : les prostituées philosophes" qui sortira l'année suivante en 1997. Langues : Français (fre) Mots-clés : "mai 68" Index. décimale : R Romans Résumé : Ce livre parle de mai 1968.
Deux personnages occupent la scène : Stéphane et Miss Nobody Knows. L’un et l’autre sont désespérés. Mais tandis que l’un ment, raconte et se raconte des histoires, l’autre fait de son angoisse un moteur pour elle-même, peut-être, pour les autres sûrement. Pour la narratrice, par exemple, qui, on peut l’imaginer, écrit ce livre à cause d’elle.
Il s’agit à la fois d’une évocation et d’une enquête.
Évocation de la grande grève de 1968. » Quelque chose se passe. » L’espoir, l’attente, la reprise, la déception, ou la stupeur, plutôt. "Miss Nobody Knows" en est comme la figure vivante. Elle ne cesse de poser des questions, les questions. Elle disparaît comme elle est apparue, sans explication ni justification. Elle reviendra.
L’enquête, elle, concerne le suicide de Stéphane, oncle de la narratrice, brillant publicitaire, enfant apparemment gâté des trente glorieuses, et en même temps, nœud de contradictions, mauvaise conscience, une angoisse à faire payer aux autres. Comment, pourquoi, est-il mort ? Qui était-il ?Note de contenu : Bibliographie de l'auteure Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=283 Depuis maintenant. Miss Nobody Knows [texte imprimé] / Leslie Kaplan (1943-....), Auteur . - Paris : P.O.L, 1996 . - 110 p. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-86744-506-4 : 70 F
Il existe "Depuis maintenant 2 : les prostituées philosophes" qui sortira l'année suivante en 1997.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : "mai 68" Index. décimale : R Romans Résumé : Ce livre parle de mai 1968.
Deux personnages occupent la scène : Stéphane et Miss Nobody Knows. L’un et l’autre sont désespérés. Mais tandis que l’un ment, raconte et se raconte des histoires, l’autre fait de son angoisse un moteur pour elle-même, peut-être, pour les autres sûrement. Pour la narratrice, par exemple, qui, on peut l’imaginer, écrit ce livre à cause d’elle.
Il s’agit à la fois d’une évocation et d’une enquête.
Évocation de la grande grève de 1968. » Quelque chose se passe. » L’espoir, l’attente, la reprise, la déception, ou la stupeur, plutôt. "Miss Nobody Knows" en est comme la figure vivante. Elle ne cesse de poser des questions, les questions. Elle disparaît comme elle est apparue, sans explication ni justification. Elle reviendra.
L’enquête, elle, concerne le suicide de Stéphane, oncle de la narratrice, brillant publicitaire, enfant apparemment gâté des trente glorieuses, et en même temps, nœud de contradictions, mauvaise conscience, une angoisse à faire payer aux autres. Comment, pourquoi, est-il mort ? Qui était-il ?Note de contenu : Bibliographie de l'auteure Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=283 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00002295 R KAP Livres Bibliothèque Ecole TNB Divers Disponible L' Excès-l'usine / Leslie Kaplan
Titre : L' Excès-l'usine Type de document : texte imprimé Auteurs : Leslie Kaplan (1943-....), Auteur Editeur : Paris : P.O.L Année de publication : 1994 Importance : 119 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86744-078-6 Prix : 11, 40 EUR Note générale : "L’excès-l’usine" montre de face l’usine, le travail à l’usine et le devenir de ceux qui y vivent, leur enfermement dans cet espace immense, dans « la grande usine univers », infini en morceaux. L’usine est vécue au féminin, ce qui rend son impersonnalité d’autant plus impersonnelle(le « je » cède la place au « on ») et le « cela » vécu dans l’usine dépasse, excède tous les mots qui pourraient le décrire, ces mots sont en trop. Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : T Théâtre Résumé : Des bidons, des fils, des tôles sont empilés.
Certains sont peints, les couleurs sont rouge, jaune, bleu, vert. Pièces et morceaux, bidons, fils et tôles. On ne sait pas, on ne peut pas savoir. On les regarde passionnément. On est rejetée. On se déplace dans des endroits sans nom, des cours, des coins, des hangars... Au café, avant d'entrer, il y a toujours cette musique. musique et poussière, et la glace au-dessus du comptoir. On boit un café pendant que la musique passe et s'en va.
On donne l'argent, ensuite on entre dans l'usine. L'usine, ce lieu infini. De la " vraie " mort, il n'y en a pas. Tout est là. Tout est impossible. Les choses sont et ne sont pas au même moment, réelles, irréelles. Aucun discours ne peut dire l'usine. Il faut des mots suspendus et discordants, ouverts. L'usine, on ne peut pas en finir avec elle par les mots, et les mots qui l'écrivent doivent tenir compte de cela, leur limite.Note de contenu : Bibliographie de l'auteur Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1051 L' Excès-l'usine [texte imprimé] / Leslie Kaplan (1943-....), Auteur . - Paris : P.O.L, 1994 . - 119 p. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-86744-078-6 : 11, 40 EUR
"L’excès-l’usine" montre de face l’usine, le travail à l’usine et le devenir de ceux qui y vivent, leur enfermement dans cet espace immense, dans « la grande usine univers », infini en morceaux. L’usine est vécue au féminin, ce qui rend son impersonnalité d’autant plus impersonnelle(le « je » cède la place au « on ») et le « cela » vécu dans l’usine dépasse, excède tous les mots qui pourraient le décrire, ces mots sont en trop.
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : Des bidons, des fils, des tôles sont empilés.
Certains sont peints, les couleurs sont rouge, jaune, bleu, vert. Pièces et morceaux, bidons, fils et tôles. On ne sait pas, on ne peut pas savoir. On les regarde passionnément. On est rejetée. On se déplace dans des endroits sans nom, des cours, des coins, des hangars... Au café, avant d'entrer, il y a toujours cette musique. musique et poussière, et la glace au-dessus du comptoir. On boit un café pendant que la musique passe et s'en va.
On donne l'argent, ensuite on entre dans l'usine. L'usine, ce lieu infini. De la " vraie " mort, il n'y en a pas. Tout est là. Tout est impossible. Les choses sont et ne sont pas au même moment, réelles, irréelles. Aucun discours ne peut dire l'usine. Il faut des mots suspendus et discordants, ouverts. L'usine, on ne peut pas en finir avec elle par les mots, et les mots qui l'écrivent doivent tenir compte de cela, leur limite.Note de contenu : Bibliographie de l'auteur Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1051 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00008198 T KAP Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible