Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection (43)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Les Apparences sont trompeuses / Thomas Bernhard
Titre : Les Apparences sont trompeuses Titre original : Der Schein trügt Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Bernhard (1931-1989), Auteur ; Edith Darnaud, Traducteur Editeur : Paris : L'Arche Année de publication : 1985 Collection : Scène ouverte., ISSN 0768-1666 Importance : 1 vol. (93 p.) Présentation : couv. ill Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-052-6 Prix : 36 F Note générale : Traduit de l'allemand par Édith Darnaud. Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : T Théâtre Résumé : Deux frères septuagénaires se rendent visite une fois par semaine. Robert vient chez Karl le mardi, c’est le premier acte. Karl vient chez Robert le jeudi, c’est le deuxième acte. Chacun monologue sur l’autre et ensemble on dialogue sur Mathilde, la femme de Karl qui vient de mourir. Rarement Thomas Bernhard a été si ouvertement comique.
Note de contenu : Bibliographie et biographie de l'auteur.
Nombre de scènes : 2
Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 2
Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=604 Les Apparences sont trompeuses = Der Schein trügt [texte imprimé] / Thomas Bernhard (1931-1989), Auteur ; Edith Darnaud, Traducteur . - Paris : L'Arche, 1985 . - 1 vol. (93 p.) : couv. ill ; 18 cm. - (Scène ouverte., ISSN 0768-1666) .
ISBN : 978-2-85181-052-6 : 36 F
Traduit de l'allemand par Édith Darnaud.
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : Deux frères septuagénaires se rendent visite une fois par semaine. Robert vient chez Karl le mardi, c’est le premier acte. Karl vient chez Robert le jeudi, c’est le deuxième acte. Chacun monologue sur l’autre et ensemble on dialogue sur Mathilde, la femme de Karl qui vient de mourir. Rarement Thomas Bernhard a été si ouvertement comique.
Note de contenu : Bibliographie et biographie de l'auteur.
Nombre de scènes : 2
Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 2
Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=604 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00004251 T BER Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible 00071283 T BER Livres Magasin Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit ; La dernière balade de Lucy Jordan / Fabrice Melquiot
Titre : Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit ; La dernière balade de Lucy Jordan Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Melquiot (1972-....), Auteur Editeur : Paris : L'Arche Année de publication : 2003 Collection : Scène ouverte., ISSN 0768-1666 Importance : 105 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-538-5 Prix : 11,50 EUR Note générale : L’un des secrets de Fabrice Melquiot est que ses pièces ne se contentent jamais d’un sujet. Elles sont totales, presque dans le sens d’une œuvre d’art totale. Seulement ici cette totalité ne vient pas d’un programme artistique cherchant à faire valoir tous les arts de la scène. Non, elles sont totales dans la mesure où leur écriture ne se laisse pas renfermer dans les limites étroites d’un théâtre supposé réaliste. Elles sont oniriques et leurs personnages empreints d’ingénuité. Pour y arriver, Fabrice Melquiot dispose d’un moyen toujours surprenant et pourtant vieux comme la littérature : un style lui permettant, en quelques traits, d’évoquer un univers, un continent où la mort fait partie du cortège de la vie. « N’importe lequel de ces continents est un morceau de moi. Toutes les histoires sont des histoires d’amour, on ne va pas tortiller. »
Pour "Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit" :
Nombre de rôles féminins : 2
Nombre de rôles masculins : 4
Nombre de décors : 0
Pour "La Dernière Balade de Lucy Jordan" :
Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 0
Langues : Français (fre) Index. décimale : T Théâtre Résumé : Voici le début "d’Autour ma pierre, il ne fera pas nuit" :
« Dans une ville qui pourrait être Naples.
Sur une colline qui surplombe la baie, un de ces étés où l’on ne respire pas.
Villas luxueuses, garages avec alarme, terrains de sport grillagés.
Routes étroites et sinueuses, trottoirs jonchés d’ordures et de cadavres de chats ou de chiens.
Parfois, le long des trottoirs, des voitures s’arrêtent, dans lesquelles garçons et filles font l’amour.
Des étés comme celui-là, ils n’ont pas le choix : vitres baissées ; et leurs voix envahissent la colline, le belvédère, tout proche, le cimetière, là.
Dans les coins, cela va de soi, on deale des substances à ceux qui se défoncent autrement.
Un marchand de friandises et de boissons fraîches se demande ce qu’il fout là.
Ceux qui, privés de voiture et fascinés par la lune, se baladent en se tenant la main feraient bien d’accélérer le pas.
Des étés comme celui-là, des nuits comme celle-là, il ne faut pas traîner là. »
"La Dernière Balade de Lucy Jordan" :
Ari Jordan vit seul avec sa mère Lucy. Une nuit vers quatre heure de l’après-midi, en rentrant chez lui après le boulot, Ari découvre Lucy morte, affalée dans son fauteuil de moleskine. C’est jour de grève et il pleut, Ari prend sa mère dans les bras et traverse la ville pour rejoindre l’hôpital, donner son corps à la science…
Cette dernière balade conduit le vieux garçon Ari vers une vie à peau neuve. Tandis qu’il traverse la ville il franchit un seuil : celui qui sépare sa vie d’avant de l’inconnu.
Note de contenu : Bibliogrpahie de l'auteur
Table des matièresType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1103 Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit ; La dernière balade de Lucy Jordan [texte imprimé] / Fabrice Melquiot (1972-....), Auteur . - Paris : L'Arche, 2003 . - 105 p. ; 18 cm. - (Scène ouverte., ISSN 0768-1666) .
ISBN : 978-2-85181-538-5 : 11,50 EUR
L’un des secrets de Fabrice Melquiot est que ses pièces ne se contentent jamais d’un sujet. Elles sont totales, presque dans le sens d’une œuvre d’art totale. Seulement ici cette totalité ne vient pas d’un programme artistique cherchant à faire valoir tous les arts de la scène. Non, elles sont totales dans la mesure où leur écriture ne se laisse pas renfermer dans les limites étroites d’un théâtre supposé réaliste. Elles sont oniriques et leurs personnages empreints d’ingénuité. Pour y arriver, Fabrice Melquiot dispose d’un moyen toujours surprenant et pourtant vieux comme la littérature : un style lui permettant, en quelques traits, d’évoquer un univers, un continent où la mort fait partie du cortège de la vie. « N’importe lequel de ces continents est un morceau de moi. Toutes les histoires sont des histoires d’amour, on ne va pas tortiller. »
Pour "Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit" :
Nombre de rôles féminins : 2
Nombre de rôles masculins : 4
Nombre de décors : 0
Pour "La Dernière Balade de Lucy Jordan" :
Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 0
Langues : Français (fre)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : Voici le début "d’Autour ma pierre, il ne fera pas nuit" :
« Dans une ville qui pourrait être Naples.
Sur une colline qui surplombe la baie, un de ces étés où l’on ne respire pas.
Villas luxueuses, garages avec alarme, terrains de sport grillagés.
Routes étroites et sinueuses, trottoirs jonchés d’ordures et de cadavres de chats ou de chiens.
Parfois, le long des trottoirs, des voitures s’arrêtent, dans lesquelles garçons et filles font l’amour.
Des étés comme celui-là, ils n’ont pas le choix : vitres baissées ; et leurs voix envahissent la colline, le belvédère, tout proche, le cimetière, là.
Dans les coins, cela va de soi, on deale des substances à ceux qui se défoncent autrement.
Un marchand de friandises et de boissons fraîches se demande ce qu’il fout là.
Ceux qui, privés de voiture et fascinés par la lune, se baladent en se tenant la main feraient bien d’accélérer le pas.
Des étés comme celui-là, des nuits comme celle-là, il ne faut pas traîner là. »
"La Dernière Balade de Lucy Jordan" :
Ari Jordan vit seul avec sa mère Lucy. Une nuit vers quatre heure de l’après-midi, en rentrant chez lui après le boulot, Ari découvre Lucy morte, affalée dans son fauteuil de moleskine. C’est jour de grève et il pleut, Ari prend sa mère dans les bras et traverse la ville pour rejoindre l’hôpital, donner son corps à la science…
Cette dernière balade conduit le vieux garçon Ari vers une vie à peau neuve. Tandis qu’il traverse la ville il franchit un seuil : celui qui sépare sa vie d’avant de l’inconnu.
Note de contenu : Bibliogrpahie de l'auteur
Table des matièresType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1103 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00008716 T MEL Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible Barbe-Bleue, espoir des femmes ; Manhattan Medea / Dea Loher
Titre : Barbe-Bleue, espoir des femmes ; Manhattan Medea Titre original : Blaubart; Manhattan Medea Type de document : texte imprimé Auteurs : Dea Loher (1964-....), Auteur Editeur : Paris : L'Arche Année de publication : 2001 Collection : Scène ouverte., ISSN 0768-1666 Importance : 1 vol. (107 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-484-5 Prix : 13,50 EUR Note générale : "Barbe-Bleue, espoir des femmes" : Traduit de l’allemand par Laurent Muhleisen
"Manhattan Medea" : Traduit de l’allemand par Olivier Balagna et Laurent Muhleisen
Pour "manhattan medea" :
Nombre de scènes : 10
Nombre de rôles féminins : 3
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 0
Pour "barbe-bleue" :
Nombre de scènes : 14
Nombre de rôles féminins : 7
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : T Théâtre Résumé : Comme les titres l’indiquent, "Manhattan Medea" ainsi que "Barbe-Bleue", espoir des femmes reprennent des mythes anciens. Dans le conte de Charles Perrault, "Barbe-Bleue" tue ses femmes pour les punir de leur curiosité. Chez Dea Loher, il est vendeur de chaussures pour femmes et tue les femmes parce qu’elles cherchent un amour « au-delà de toute mesure ». Les femmes assassinées sont donc en partie responsables de la tragédie, et la mort, quand Barbe-Bleue la leur donne, faute de répondre à cette démesure, s’apparente à une délivrance.
Dans "Manhattan Medea", Médée et Jason sont des immigrés clandestins et vivent dans l’underground new-yorkais. Jason a quitté Médée pour la fille d’un riche fabricant. La veille des noces, Médée l’attend devant la maison de la mariée, bien décidée à le ramener à elle, à recoudre une nouvelle fois leur union, coûte que coûte.
Note de contenu : Biographie de l'auteure
Table des matièresType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1002 Barbe-Bleue, espoir des femmes ; Manhattan Medea = Blaubart; Manhattan Medea [texte imprimé] / Dea Loher (1964-....), Auteur . - Paris : L'Arche, 2001 . - 1 vol. (107 p.) ; 18 cm. - (Scène ouverte., ISSN 0768-1666) .
ISBN : 978-2-85181-484-5 : 13,50 EUR
"Barbe-Bleue, espoir des femmes" : Traduit de l’allemand par Laurent Muhleisen
"Manhattan Medea" : Traduit de l’allemand par Olivier Balagna et Laurent Muhleisen
Pour "manhattan medea" :
Nombre de scènes : 10
Nombre de rôles féminins : 3
Nombre de rôles masculins : 2
Nombre de décors : 0
Pour "barbe-bleue" :
Nombre de scènes : 14
Nombre de rôles féminins : 7
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : Comme les titres l’indiquent, "Manhattan Medea" ainsi que "Barbe-Bleue", espoir des femmes reprennent des mythes anciens. Dans le conte de Charles Perrault, "Barbe-Bleue" tue ses femmes pour les punir de leur curiosité. Chez Dea Loher, il est vendeur de chaussures pour femmes et tue les femmes parce qu’elles cherchent un amour « au-delà de toute mesure ». Les femmes assassinées sont donc en partie responsables de la tragédie, et la mort, quand Barbe-Bleue la leur donne, faute de répondre à cette démesure, s’apparente à une délivrance.
Dans "Manhattan Medea", Médée et Jason sont des immigrés clandestins et vivent dans l’underground new-yorkais. Jason a quitté Médée pour la fille d’un riche fabricant. La veille des noces, Médée l’attend devant la maison de la mariée, bien décidée à le ramener à elle, à recoudre une nouvelle fois leur union, coûte que coûte.
Note de contenu : Biographie de l'auteure
Table des matièresType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1002 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00007900 T LOH Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible 00007894 T LOH Livres Magasin Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible Le bouc ; Les larmes amères de Petra von Kant ; Liberté à Brême / Rainer Werner Fassbinder
Titre : Le bouc ; Les larmes amères de Petra von Kant ; Liberté à Brême Titre original : Katzelmacher; Die Bitteren Tränen der Petra von Kant ; Bremer Freiheit Type de document : texte imprimé Auteurs : Rainer Werner Fassbinder (1945-1982), Auteur ; Philippe Ivernel, Traducteur ; Sylvie Muller, Traducteur Mention d'édition : Nouvelle édition Editeur : Paris : L'Arche Année de publication : 1989 Collection : Scène ouverte., ISSN 0768-1666 Importance : 1 vol. (134 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-031-1 Prix : 49 FRF Note générale : Pour "Le bouc" : Pièce écrite en 1988
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 5
Nombre de rôles masculins : 5
Nombre de décors : 0
Pour "Les larmes..." : Pièce écrite en 1996
Nombre de scènes : 5
Nombre de rôles féminins : 6
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
Pour "Liberté à Brême" : Pièce écrite en 1976
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 3
Nombre de rôles masculins : 8
Nombre de décors : 0
"Le Bouc" : Traduit de l’allemand par Philippe Ivernel
"Les Larmes amères de Petra von Kant" : Traduit de l’allemand par Sylvie Muller
"Liberté à Brême" : Traduit de l’allemand par Philippe Ivernel
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : T Théâtre Résumé : "Le Bouc" : Jorgos, ce « Grec de Grèce » nouvellement arrivé dans une bourgade bavaroise, suscite autant le mépris racial que les fantasmes sexuels. Faite d’une série de séquences brèves, la pièce est le patient tissage d’un réseau associatif de mots et de phrases, rhétorique quotidienne dans et par laquelle s’annonce le meurtre rituel de « l’autre ».
"Les Larmes amères de Petra von Kant" : Modéliste réputée, Petra von Kant tisse autour d’une jeune femme qu’elle emploie comme mannequin un rêve d’amour sans homme ni barrière de classe. Au réveil, tout un univers artistique fabriqué s’effondre, mais non Petra, en qui l’auteur voit une sorte d’héroïne de la sentimentalité, en quête de la vie.
"Liberté à Brême" : Madame Gottfried, née Timm, veuve Miltenberger (Geesche dans la pièce), fut décapitée publiquement le 21 avril 1831 à Brême pour avoir empoisonné à l’arsenic quinze personnes de son entourage. De ce fait divers qui en son temps défraya la chronique, Fassbinder tire une tragédie agressivement naïve de la vie bourgeoise. Geesche surgit du personnage historique comme une combattante spontanée de la lutte des femmes. Sa douce et sainte violence libère aussi bien les oppresseurs que les opprimés. Rien ici d’un message suggéré ; tout affleure, se montre, se dit, se joue.
Note de contenu : Note sur le théâtre de Fassbinder
Biographie de l'auteurType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=860 Le bouc ; Les larmes amères de Petra von Kant ; Liberté à Brême = Katzelmacher; Die Bitteren Tränen der Petra von Kant ; Bremer Freiheit [texte imprimé] / Rainer Werner Fassbinder (1945-1982), Auteur ; Philippe Ivernel, Traducteur ; Sylvie Muller, Traducteur . - Nouvelle édition . - Paris : L'Arche, 1989 . - 1 vol. (134 p.) ; 18 cm. - (Scène ouverte., ISSN 0768-1666) .
ISBN : 978-2-85181-031-1 : 49 FRF
Pour "Le bouc" : Pièce écrite en 1988
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 5
Nombre de rôles masculins : 5
Nombre de décors : 0
Pour "Les larmes..." : Pièce écrite en 1996
Nombre de scènes : 5
Nombre de rôles féminins : 6
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
Pour "Liberté à Brême" : Pièce écrite en 1976
Nombre de scènes : 1
Nombre de rôles féminins : 3
Nombre de rôles masculins : 8
Nombre de décors : 0
"Le Bouc" : Traduit de l’allemand par Philippe Ivernel
"Les Larmes amères de Petra von Kant" : Traduit de l’allemand par Sylvie Muller
"Liberté à Brême" : Traduit de l’allemand par Philippe Ivernel
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : "Le Bouc" : Jorgos, ce « Grec de Grèce » nouvellement arrivé dans une bourgade bavaroise, suscite autant le mépris racial que les fantasmes sexuels. Faite d’une série de séquences brèves, la pièce est le patient tissage d’un réseau associatif de mots et de phrases, rhétorique quotidienne dans et par laquelle s’annonce le meurtre rituel de « l’autre ».
"Les Larmes amères de Petra von Kant" : Modéliste réputée, Petra von Kant tisse autour d’une jeune femme qu’elle emploie comme mannequin un rêve d’amour sans homme ni barrière de classe. Au réveil, tout un univers artistique fabriqué s’effondre, mais non Petra, en qui l’auteur voit une sorte d’héroïne de la sentimentalité, en quête de la vie.
"Liberté à Brême" : Madame Gottfried, née Timm, veuve Miltenberger (Geesche dans la pièce), fut décapitée publiquement le 21 avril 1831 à Brême pour avoir empoisonné à l’arsenic quinze personnes de son entourage. De ce fait divers qui en son temps défraya la chronique, Fassbinder tire une tragédie agressivement naïve de la vie bourgeoise. Geesche surgit du personnage historique comme une combattante spontanée de la lutte des femmes. Sa douce et sainte violence libère aussi bien les oppresseurs que les opprimés. Rien ici d’un message suggéré ; tout affleure, se montre, se dit, se joue.
Note de contenu : Note sur le théâtre de Fassbinder
Biographie de l'auteurType de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=860 Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00006293 T FAS Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible 00006309 T FAS Livres Magasin Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible 00071289 T FAS Livres Magasin Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Exclu du prêt C'est ainsi mon amour que j'appris ma blessure ; Le laveur de visages ; L'actrice empruntée / Fabrice Melquiot
Titre : C'est ainsi mon amour que j'appris ma blessure ; Le laveur de visages ; L'actrice empruntée Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Melquiot (1972-....), Auteur Editeur : Paris : L'Arche Année de publication : 2003 Collection : Scène ouverte., ISSN 0768-1666 Importance : 92 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-556-9 Prix : 10 EUR Note générale : Comprend :
"C’est ainsi mon amour que j’appris ma blessure" : Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"Le Laveur de visages" : Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"L’Actrice empruntée" : Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
Les monologues ont une longue tradition au théâtre et ils peuvent revêtir les formes les plus diverses. Certaines époques qui se souciaient peu ou différemment d’un rendu naturaliste du monde – le théâtre de Shakespeare mais aussi le théâtre intime de Strindberg – s’accommodaient bien du monologue. Mais il s’agissait là de tirades plus ou moins longues au sein même des pièces et non pas de pièces entières sous forme de monologues.
Les trois textes que Fabrice Melquiot nous propose ici n’ont rien à voir avec les monologues classiques. On peut les appeler « pièces comme monologues » et en allant plus loin on peut y discerner une forme caractéristique de l’écriture contemporaine. L’auteur ne choisit pas cette forme pour mieux s’accommoder des contraintes propres au théâtre (notamment le manque de moyens) mais parce qu’elle correspond à un théâtre qu’on pourrait appeler celui de l’individu solitaire en quête d’un autre ; les lieux de l’action sont des endroits encore inouïs au théâtre (aéroport ou garage par exemple).
Langues : Français (fre) Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans "C’est ainsi mon amour que j’appris ma blessure", au petit matin, après une nuit bien arrosée, un homme attend son avion à l’aéroport de Madrid. Une jeune femme est assise près de lui et l’homme nous livre, juste pendant le temps de l’attente, un flux d’observations où le désir prime peut-être sur la sensation de la perte mais où le manque reste le leitmotiv. Qu’est-il devenu au juste, l’homme, à notre époque ?
Samuel Simorgh, dans "Le Laveur de visages", vole des voitures bien qu’il n’ait jamais cru qu’une voiture puisse tenir compagnie. Mais à présent il comprend les gens qui bichonnent leur bagnole, qui communiquent avec la tôle, il comprend les caresses de ces types, les petits halos de buée qu’ils distillent sur les merdes d’insectes pour mieux les gratter. Lui aussi cherche une femme – qui a fait sa vie avec un autre. Et dans "L’Actrice empruntée", l’actrice cherche une relation impossible avec un public qui, par définition, ne peut lui répondre.
À chaque fois, cette demande d’autre échoue, mais sans drame, sans pathos : chez Fabrice Melquiot, l’humour est une marque de fabrique, avec la poésie omniprésente.Note de contenu : Table des matières Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1102 C'est ainsi mon amour que j'appris ma blessure ; Le laveur de visages ; L'actrice empruntée [texte imprimé] / Fabrice Melquiot (1972-....), Auteur . - Paris : L'Arche, 2003 . - 92 p. ; 18 cm. - (Scène ouverte., ISSN 0768-1666) .
ISBN : 978-2-85181-556-9 : 10 EUR
Comprend :
"C’est ainsi mon amour que j’appris ma blessure" : Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"Le Laveur de visages" : Nombre de rôles féminins : 0
Nombre de rôles masculins : 1
Nombre de décors : 0
"L’Actrice empruntée" : Nombre de rôles féminins : 1
Nombre de rôles masculins : 0
Nombre de décors : 0
Les monologues ont une longue tradition au théâtre et ils peuvent revêtir les formes les plus diverses. Certaines époques qui se souciaient peu ou différemment d’un rendu naturaliste du monde – le théâtre de Shakespeare mais aussi le théâtre intime de Strindberg – s’accommodaient bien du monologue. Mais il s’agissait là de tirades plus ou moins longues au sein même des pièces et non pas de pièces entières sous forme de monologues.
Les trois textes que Fabrice Melquiot nous propose ici n’ont rien à voir avec les monologues classiques. On peut les appeler « pièces comme monologues » et en allant plus loin on peut y discerner une forme caractéristique de l’écriture contemporaine. L’auteur ne choisit pas cette forme pour mieux s’accommoder des contraintes propres au théâtre (notamment le manque de moyens) mais parce qu’elle correspond à un théâtre qu’on pourrait appeler celui de l’individu solitaire en quête d’un autre ; les lieux de l’action sont des endroits encore inouïs au théâtre (aéroport ou garage par exemple).
Langues : Français (fre)
Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans "C’est ainsi mon amour que j’appris ma blessure", au petit matin, après une nuit bien arrosée, un homme attend son avion à l’aéroport de Madrid. Une jeune femme est assise près de lui et l’homme nous livre, juste pendant le temps de l’attente, un flux d’observations où le désir prime peut-être sur la sensation de la perte mais où le manque reste le leitmotiv. Qu’est-il devenu au juste, l’homme, à notre époque ?
Samuel Simorgh, dans "Le Laveur de visages", vole des voitures bien qu’il n’ait jamais cru qu’une voiture puisse tenir compagnie. Mais à présent il comprend les gens qui bichonnent leur bagnole, qui communiquent avec la tôle, il comprend les caresses de ces types, les petits halos de buée qu’ils distillent sur les merdes d’insectes pour mieux les gratter. Lui aussi cherche une femme – qui a fait sa vie avec un autre. Et dans "L’Actrice empruntée", l’actrice cherche une relation impossible avec un public qui, par définition, ne peut lui répondre.
À chaque fois, cette demande d’autre échoue, mais sans drame, sans pathos : chez Fabrice Melquiot, l’humour est une marque de fabrique, avec la poésie omniprésente.Note de contenu : Table des matières Type de documents : écrits Permalink : http://172.19.28.25/index.php?lvl=notice_display&id=1102 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00008709 T MEL Livres Bibliothèque Ecole TNB Théâtre contemporain (XXième et XXIème siècle) Disponible Le café / Rainer Werner Fassbinder
PermalinkLes cancans / Carlo Goldoni
PermalinkCasimir et Caroline / Ödön von Horváth
PermalinkLe chant du dire-dire / Daniel Danis
PermalinkContrôle d'identité ; Mode d'emploi ; Burnout / Alexandra Badea
Permalink